À cinq semaines de l’élection présidentielle ivoirienne, la tension entre le pouvoir et l’opposition s’accentue. Le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) estime que les attentes du Front commun PDCI-PPA-CI vis-à-vis de l’ONU sont irréalistes.
Pour Fanny Karim, secrétaire départemental adjoint du RHDP à Issia, « attendre de l’ONU qu’elle remette en cause le processus électoral est utopique ».
La visite du diplomate mozambicain Leonardo Simão du 15 au 17 septembre 2025 a ravivé les spéculations de l’opposition, qui dénonce l’exclusion de plusieurs de ses figures majeures, dont Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam et Pascal Affi N’guessan, de la liste officielle des candidats.
Le RHDP réaffirme que « la présidentielle aura bien lieu » et que la Côte d’Ivoire n’est pas en crise, rappelant que les élections sont désormais des événements réguliers et stabilisés. Pour l’opposition, cette exclusion fragilise sa mobilisation, mais ses appels peinent à trouver un écho au niveau international.
Malgré des dénonciations d’arrestations et d’intimidations, le RHDP assure que l’État veille au respect de la légalité.
La communauté internationale, notamment la France et l’ONU, multiplie les échanges avec Abidjan, mais ne remet pas en cause la tenue du vote. Pour le camp présidentiel, cela confirme la stabilité retrouvée du pays, tandis que l’opposition y voit encore l’espoir d’une intervention favorable à ses revendications.À cinq semaines de l’élection présidentielle ivoirienne, la tension entre le pouvoir et l’opposition s’accentue. Le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) estime que les attentes du Front commun PDCI-PPA-CI vis-à-vis de l’ONU sont irréalistes.
Pour Fanny Karim, secrétaire départemental adjoint du RHDP à Issia, « attendre de l’ONU qu’elle remette en cause le processus électoral est utopique ».
La visite du diplomate mozambicain Leonardo Simão du 15 au 17 septembre 2025 a ravivé les spéculations de l’opposition, qui dénonce l’exclusion de plusieurs de ses figures majeures, dont Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam et Pascal Affi N’guessan, de la liste officielle des candidats.
Le RHDP réaffirme que « la présidentielle aura bien lieu » et que la Côte d’Ivoire n’est pas en crise, rappelant que les élections sont désormais des événements réguliers et stabilisés. Pour l’opposition, cette exclusion fragilise sa mobilisation, mais ses appels peinent à trouver un écho au niveau international.
Malgré des dénonciations d’arrestations et d’intimidations, le RHDP assure que l’État veille au respect de la légalité.
La communauté internationale, notamment la France et l’ONU, multiplie les échanges avec Abidjan, mais ne remet pas en cause la tenue du vote. Pour le camp présidentiel, cela confirme la stabilité retrouvée du pays, tandis que l’opposition y voit encore l’espoir d’une intervention favorable à ses revendications.
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