des tags : Côte d’Ivoire : le Procureur de la République dément l’existence d’enlèvements et de disparitions forcées Dans un communiqué rendu public par le ministère ivoirien de la justice, le procureur de la République près le tribunal de première instance d’Abidjan a réagi aux accusations faisant état d’enlèvements lors d’opérations de police et de gendarmerie. Le procureur a dénoncé un narratif « qui jette le discrédit sur les services de police et de gendarmerie ainsi que sur les opérations menées par ces services ». Il a fermement réfuté les rumeurs selon lesquelles certaines interpellations seraient assimilables à des disparitions forcées. « Ces opérations ne constituent donc pas des enlèvements ou des disparitions forcées », a-t-il affirmé, rappelant qu’elles sont conduites « sous sa direction » conformément aux dispositions du Code de procédure pénale. Et de préciser que chaque personne arrêtée « fait l’objet de procédure d’enquête régulière et de jugement si nécessaire et est détenue conformément à la loi ». Sur l’usage de cagoules Face aux critiques sur l’utilisation de cagoules par certaines unités, le procureur a tenu à clarifier choses : « le fait pour les agents de police ou de gendarmerie de faire usage de cagoule lors de leur intervention, cela n’en fait pas des hors-la-loi mais procède d’un mode opératoire propre à certaines unités, comme c’est le cas dans de nombreux pays » Selon lui, l’objectif caché de ces accusations est de faire croire à l’opinion publique qu’il existe des milices à la solde du régime en place agissant en dehors de toute base légale, ce qu’il a catégoriquement rejeté. « La Côte d’Ivoire ne connaît ni enlèvements, ni séquestration, ni disparition forcée comme certains tentent de le faire croire. », indique le procureur de la République près le tribunal de première instance d’Abidjan. encagoulés

Côte d’Ivoire : le Procureur de la République dément l’existence d’enlèvements et de disparitions forcées

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Dans un communiqué rendu public par le ministère ivoirien de la justice, le procureur de la République près le tribunal de première instance d’Abidjan a réagi aux accusations faisant état d’enlèvements lors d’opérations de police et de gendarmerie.

Le procureur a dénoncé un narratif « qui jette le discrédit sur les services de police et de gendarmerie ainsi que sur les opérations menées par ces services ». Il a fermement réfuté les rumeurs selon lesquelles certaines interpellations seraient assimilables à des disparitions forcées.

« Ces opérations ne constituent donc pas des enlèvements ou des disparitions forcées », a-t-il affirmé, rappelant qu’elles sont conduites « sous sa direction » conformément aux dispositions du Code de procédure pénale.

Et de préciser que chaque personne arrêtée « fait l’objet de procédure d’enquête régulière et de jugement si nécessaire et est détenue conformément à la loi ».

Sur l’usage de cagoules

Face aux critiques sur l’utilisation de cagoules par certaines unités, le procureur a tenu à clarifier choses : « le fait pour les agents de police ou de gendarmerie de faire usage de cagoule lors de leur intervention, cela n’en fait pas des hors-la-loi mais procède d’un mode opératoire propre à certaines unités, comme c’est le cas dans de nombreux pays »

Selon lui, l’objectif caché de ces accusations est de faire croire à l’opinion publique qu’il existe des milices à la solde du régime en place agissant en dehors de toute base légale, ce qu’il a catégoriquement rejeté.

 « La Côte d’Ivoire ne connaît ni enlèvements, ni séquestration, ni disparition forcée comme certains tentent de le faire croire. », indique le procureur de la République près le tribunal de première instance d’Abidjan.


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